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25 • 26 • 27 • 28 mai 2023

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Catherine Balet, Endless, Saison Printemps, Courtesy Bigaignon

Bigaignon

Courtesy Galerie Crèvecoeur, Paris

Crèvecœur

Ceysson & Bénétière

Patrick Saytour 1935, France

  • Patrick Saytour, Brûlage, 2018, detail, © Saytour studio, courtesy Ceysson & Bénétière

Patrick Saytour, Brûlage, 2018, detail, © Saytour studio, courtesy Ceysson & Bénétière

« Clara Guislain : La méthode de déconstruction implique alors une sorte d’auto-engendrement qui est simultanément une autocritique permanente, et qui, en retour, constitue à la fois le contexte et le contenu de la peinture. Tout cela nous ramène à la manière singulière avec laquelle vous déstabilisez le lieu et le temps de la peinture en sapant constamment l’endroit où elle pourrait se refermer.

Patrick Saytour : L’idée était de faire une tentative de séparation de la monstration. Parce qu’il faut d’abord faire quelque chose qu’on voit. Faire une forme et que cette forme se voie, même s’il s’agit d’une vision mentale, pas oculaire. Ce qui importe, c’est aussi ce qui emporte la décision, au moins telle qu’on la perçoit, comment on essaye de l’analyser. Ce qui importe, c’est cette violence qui est souvent mise sur le compte de la jeunesse, dont on dit qu’elle serait amenée à perdre en vigueur avec le temps. Il s’agit là de réflexions que je me suis souvent faites lorsque j’avais trente ans. Je me projetais dans un avenir plus ou moins lointain en me positionnant comme pouvant arrêter de travailler avant que cette violence ne disparaisse. Je n’ai pas tellement changé d’avis. Je suis bien servi par la peinture parce que la peinture, même sans moi, se défile. Il faut qu’à chaque fois j’aille la rattraper, et c’est ça le travail. Ce n’est pas le savoir. C’est savoir rattraper le fil de la peinture, ce qui peut paraître dérisoire, mais qui, pris au sens fort, peut constituer un manifeste extrêmement provocateur en termes de déconstruction. Il ne s’agit ni de développer ni de répéter. Comment ne pas développer et ne pas répéter, c’est une façon de comprendre pour moi l’action créative, bien que ce ne soit pas une manière univoque de l’envisager. »

Extrait de l’entretien entre Clara Guislain et Patrick Saytour, publié dans le catalogue Patrick Saytour, Éditions Ceysson, 2022.

Rendez-vous

Samedi 21 mai 2022 à 18h00

Vernissage de l’exposition de fil blanc de Patrick Saytour

Voir tout l’agenda
23 Rue du Renard
Paris, France
0142770822 www.ceyssonbenetiere.com/fr/home

La galerie

Fondée, à Saint-Étienne, en 2006, par François Ceysson et Loïc Bénétière, la galerie Ceysson & Bénétière a développé ses implantations à Luxembourg, Paris, Lyon, Genève et New York. Au Luxembourg la galerie dispose désormais, à Wandhaff, d’un vaste lieu.

Les artistes de la galerie

Trudy Benson • Robert Brandy • Pierre Buraglio • Denis Castellas • Franck Chalendard • Max Charvolen • mounir fatmi • Philippe Favier • Daniel Firman • Christian Floquet • Joe Fyfe • Nancy Graves • Rémy Jacquier • Sadie Laska • Lauren Luloff • Jean Messagier • Nicolas Momein • Tania Mouraud • Alexander Nolan • ORLAN • Aurélie Pétrel • Florian Pugnaire & David Raffini • Roland Quetsch • Lionel Sabatté • Frank Stella • Nam Tchun-Mo • Mitja Tušek • Bernar Venet • Wallace Whitney • Jesse Willenbring Supports/Surfaces André-Pierre Arnal • Vincent Bioulès • Louis Cane • Marc Devade • Daniel Dezeuze • Noël Dolla • Toni Grand • Bernard Pagès • Jean-Pierre Pincemin • Patrick Saytour • André Valensi • Claude Viallat

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mfc-michèle didier

To you who make the springtime, I send my winter

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Catherine Balet, Endless, Saison Printemps, Courtesy Bigaignon

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© Hajime Sorayama. Courtesy of the Artist and Almine Rech

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Eugène Leroy 1910 — 2000, France

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