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23 • 24 • 25 mai 2025

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Adam et Eve, 2020-2021, bois, caisses de munitions, diptyque : 242 x 99 x 12 cm / 244 x 100 x 10,5 cm.

RABOUAN MOUSSION

Cédric Quissola, Avalanche, 2018

Ségolène Brossette Galerie

Ricardo Fernandes

Kássia Borges Mytara 1962, Brésil

"'Femme Jibóia"

  • Femme Jibóia, Kássia Borges Mytara, photo Sami Korhonen @ricardofernandesgallery

Femme Jibóia, Kássia Borges Mytara, photo Sami Korhonen @ricardofernandesgallery

Carte blanche à Kássia Borges Mytara

L’exposition individuelle de l’artiste autochtone brésilienne Kássia Borges Mytara dans notre galerie parisienne explore la profonde et multifacette signification de la jibóia (le boa sacré) dans la culture indigène brésilienne.

Pour de nombreuses ethnies, comme les Huni Kuin, la jibóia est un être sacré, associé à divers aspects culturels et spirituels. Gardienne des graphismes indigènes, elle représente des motifs et dessins traditionnels utilisés dans l’artisanat et d’autres expressions culturelles. Les formes géométriques dans la culture indigène symbolisent non seulement les connaissances mathématiques et la pensée rationnelle, mais aussi les cultures et ethnies elles-mêmes. Leur répétition signifie l’organisation sociale et le respect des règles au sein des communautés.

La jibóia est un symbole de protection et de sagesse, mentionnée fréquemment dans les mythes et les histoires. Elle est puissante, hypnotisante, influente, et gardienne des forêts et des rivières. Se déplaçant en courbes et en équilibre avec la nature, elle reste en contact permanent avec la terre tout en ayant la capacité de se mouvoir de manière forte et dominante. Les vases et céramiques miniatures dans la construction de l’œuvre Femme Jibóia symbolisent le travail partagé, la production et le pouvoir des femmes à s’organiser pour protéger leur communauté.
Les épines, observées dans les œuvres de Kássia Borges Mytara, symbolisent les phases difficiles de la vie, les défis et obstacles, ainsi que la force et la résilience nécessaires pour les surmonter. Elles rappellent que, malgré les difficultés, il est possible de grandir et de s’épanouir, tout comme les plantes épineuses qui survivent dans des environnements hostiles.
Ce symbolisme se retrouve dans les mythes et les pratiques de guérison, où les épines représentent la surmontée des douleurs et des difficultés, métaphore des diversités de la vie et des problèmes auxquels les peuples sont confrontés.

La jibóia de l’artiste, composée d’une queue, d’un corps et d’une tête, représente la résistance des communautés face à la diversité et aux défis posés par les colonisateurs. Symbole de protection et de stabilité, les serpents sont protecteurs mais aussi dévoreurs, nécessitant respect.
La Jibóia est la femme, l’entité spirituelle qui protège l’entrée des communautés tribales. Lorsqu’un indigène souhaite découvrir le monde extérieur, la jibóia ne l’en empêche pas, mais ne permet pas à la personne de revenir, protégeant ainsi ceux à l’intérieur de la communauté des influences extérieures.

Kássia Borges Mytara, par son œuvre Femme Jibóia, met en avant l’élément féminin, toujours présent dans les actes de travail et d’alimentation, où les tâches sont réparties équitablement. La jibóia, dans la vie indigène, symbolise la protection spirituelle et la sagesse. En tant que féministe engagée, l’artiste souligne l’importance du rôle des femmes dans la préservation et la transmission des valeurs culturelles, tout en revendiquant leur pouvoir et leur résilience face aux défis contemporains.

Exposition personnelle de Kássia Borges Mytara

Du 19 avril au 2 juin 2025

Rendez-Vous

Dimanche 25 mai 2025 à 11h00

Visite guidée et brunch – Ricardo Fernandes

Voir tout l’agenda
132-140 Rue des Rosiers
Saint-Ouen-sur-Seine, France
06 81 35 12 87 www.ricardofernandes.biz

La galerie

Depuis 2007 à Paris, la galerie Ricardo Fernandes ouvre les portes du marché international de l’Art Contemporain à de talentueux artistes.

Elle s’inscrit dans la continuité d’un travail de plus de vingt-cinq ans qui a commencé par l’inauguration d’une première galerie au Brésil et a donné naissance à une carrière internationale au cours de laquelle Ricardo Fernandes s'est activement engagé dans la promotion de ses artistes.

La galerie fait partie d’un mouvement de galeries d'art contemporain parisiennes, extrêmement dynamiques et résolument cosmopolites, qui affirment à chaque exposition leurs valeurs internationales et artistiques.

Installée depuis 2017 à Saint-Ouen, la galerie propose des expositions d’arts plastiques dans les domaines les plus divers (peinture, sculpture, photographie, installations…) et s’ouvre à une large variété d’expressions artistiques contemporaines.

Par son soutien constant à des artistes internationaux et son implication dans le développement d’un marché international en pleine expansion, la galerie Ricardo Fernandes participe à la diversité et à l’interaction artistique et culturelle de la ville de Paris.

La galerie propose des expositions d’arts plastiques liées aux domaines les plus divers (peinture, sculpture, photographie, installations…) et s’ouvre à une large variété d’expressions artistiques contemporaines.

Par son soutien constant à des artistes internationaux et son implication dans le développement d’un marché international en pleine expansion, la galerie Ricardo Fernandes participe à la diversité et à l’interaction artistique et culturelle de la ville de Paris.

Les artistes de la galerie

Ana Luiza Rodrigues, Antonio Sergio Moreira, José Diniz, Juan Esteves, Kássia Borges Mytara, Kati Riikonen, Leopoldo Martins, Lita Cerqueira, Loredana, Lucia Adverse, Lula Ricardi, Marcelo Solá, Mathilde Thiennot, Sami Korhonen, Sylvia Morgado

Galerie sélectionnée par Chris Cyrille Isaac

Dans le thème « Art contemporain »

Jean-Michel André, Vertige, Cap Corse, 2022 ©J.M. André courtesy galerie Sit Down

Galerie Sit Down

Jean-Michel André 1976, France

"Chambre 207"

En premier plan :Cristina Almodóvar, AFFLEUREMENT ROCHEUX, 2024, Carton collé sur bois et vernis, 140 x 220 x 80 cm

En arrière plan : Cristina Almodóvar, MARCOS, Evasion, 2025, Encre sur papier encadré, carton encollé et vernis, 177 x 295 cm

Galerie Dutko

Cristina Almodóvar 1970, Espagne

"Au-delà de la matière"

Soufia Erfanian, Unhealed Cut (Lies That Bled Blue), Acrylique sur toile, Acrylic on canvas, 230 x 180 cm, 90 1/2 x 70 7/8 inches , (SE002)

Galerie Christophe Gaillard

Soufia Erfanian 1990, Iran

"Lies That Bled Blue"

Dans le thème « Artistes femmes »

Sophia Fassi, La sieste I, 2024, huile sur toile, 114 x 146 cm, ©Galerie Berthet-Aittouares

Berthet-Aittouarès

Eve Aschheim, Claude Buraglio, Marie-Claude Bugeaud, Sophia Fassi, Anne Ferrer, Liliane Klapisch, Vera Molnar, Nil Yalter.

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"8 femmes"

École espagnole du XVIIᵉ siècle, Virgin of solitude, signé au dos MB, Huile sur toile, 145 x 104 cm.

PACT

Jure Kastelic, Clément Bataille, Victoria Oresko, Maria Adjovici, Carlo Dolci, Eugène Appert

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"Be The Holy"

Stéphané Edith Conradie, Klinkende Simbaal II, 2025, Assemblage d’éléments divers, Courtesy Ceysson & Bénétière

Ceysson & Bénétière

Stephané Edith Conradie 1990, Namibie

Dans le thème « Carte blanche »

Elizabeth Lennard, Flower Mold, Red, 2010.

Les Douches la Galerie

August Sander, Daniel Masclet, Anna et Bernhard Blume, Michel Journiac, Valérie Belin, Stéphane Couturier, Elizabeth Lennard, Henri Foucault, Denis Darzacq, Alain Fleischer, Patrick Tosani, Ghislaine Vappereau, François Kollar, Roger Catherineau, Bernard Plossu etc..

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"Dans ma cuisine"

Lalitha Lajmi. Performer and Child, 2015. Watercolor on paper, 21 x 14 inches. Courtesy of the Estate of Lalitha Lajmi and Gallery Art & Soul, Mumbai.

Galerie Anne Barrault

Lalitha Lajmi 1932 — 2023, Inde

Rafael Domenech,

193 Gallery

Rafael Domenech 1989, Cuba/États-Unis

"Flowers blooming on acid"

Dans le thème « Ecologie / Environnement »

Guillaume Castel, Palma, acier Corten et inox, 19 x 25 x 29 cm, 2024, © Guillaume Castel, Courtesy Galerie Ariane C-Y.

Galerie Ariane C-Y

Guillaume Castel 1980, France

"Jardin des simples"

En premier plan :Cristina Almodóvar, AFFLEUREMENT ROCHEUX, 2024, Carton collé sur bois et vernis, 140 x 220 x 80 cm

En arrière plan : Cristina Almodóvar, MARCOS, Evasion, 2025, Encre sur papier encadré, carton encollé et vernis, 177 x 295 cm

Galerie Dutko

Cristina Almodóvar 1970, Espagne

"Au-delà de la matière"

Vivian Van Blerk, La Clairiere, Sculpture ceramique, 65×65×70 cm.

Galerie Dominique Fiat

Vivian Van Blerk 1971 — 2024, Afrique du Sud

"Memento Mori"

Dans le thème « Installation / performance »

Rafael Domenech,

193 Gallery

Rafael Domenech 1989, Cuba/États-Unis

"Flowers blooming on acid"

Christian Fogarolli, Gardés en cage (détail), 2025, verre borosilicate, photographies d'archives, plastique, 200 x 30 x 30 cm. Courtesy Christian Fogarolli et Galerie Alberta Pane.

Galerie Alberta Pane

Christian Fogarolli 1983, Italie

"Mauvais Corps"

Sophie Whettnall, Invisible landscape, 2025, soie perforée, cadre cuivre, 51,5 x 40 x 3,5 cm, Photo © Isabelle Arthuis, Courtesy of the artist and Michel Rein, Paris/Brussels

Michel Rein

Sophie Whettnall 1973, Belgique

"Invisible"

Dans le thème « Scène latine »

Liliana Porter, Red Sand, 2021 - Courtesy of the artist and mor charpentier Paris.

mor charpentier

Liliana Porter 1941, Argentine

"Almost There"

Rafael Domenech,

193 Gallery

Rafael Domenech 1989, Cuba/États-Unis

"Flowers blooming on acid"

Julio Villani, Lettres Brisees 2, 251x130.

Galerie RX&SLAG

Julio Villani 1956, Brésil

"L'eau rougie de la veine mémoire"

Dans le thème « Sculpture »

Sophia Fassi, La sieste I, 2024, huile sur toile, 114 x 146 cm, ©Galerie Berthet-Aittouares

Berthet-Aittouarès

Eve Aschheim, Claude Buraglio, Marie-Claude Bugeaud, Sophia Fassi, Anne Ferrer, Liliane Klapisch, Vera Molnar, Nil Yalter.

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"8 femmes"

Joachim Bandau, vue de l'exposition personnelle ''La Face cachée'', 2016, Galerie Maubert, Paris

Galerie Maubert

Joachim Bandau 1936, Allemagne

"Solo Show''

Christian Fogarolli, Gardés en cage (détail), 2025, verre borosilicate, photographies d'archives, plastique, 200 x 30 x 30 cm. Courtesy Christian Fogarolli et Galerie Alberta Pane.

Galerie Alberta Pane

Christian Fogarolli 1983, Italie

"Mauvais Corps"

Dans le quartier « Nord-Est (Saint-Ouen - Belleville - Pantin - Romainville) »

Renaud Auguste-Dormeuil, Le Tourbillon de la Vie #01, 2013, Impression Lambda contrecollée sur aluminium, 120 x 150 cm, Edition de 5 ex + 1 AP
© Renaud Auguste-Dormeuil, Courtesy de l'artiste & galerie In Situ - fabienne leclerc, Grand Paris

galerie Sator

Renaud Auguste-Dormeuil, Djabril Boukhenaïssi, Raphaël Denis, Alessandro Di Lorenzo, Gabriel Leger, Éric Manigaud, Bruno Pélassy, Kelly Sinnapah Mary, Thiên Ngoc Ngo Rioufol

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"De l'effacement de la figure humaine"

Diego Bianchi, Jacobsen, 2019, chrome pipes, wood, plastic, 181 x 150 x 80 cm

Galerie Jocelyn Wolff

Diego Bianchi 1969, Argentine

"ThéâtrEErreuR"

Georg Baselitz, Indigene liegen im Farnkraut, 2025, Oil on canvas, 300 x 430 cm (118,11 x 169,29 in), signed, dated and titled verso. Courtesy Galerie Thaddaeus Ropac, London · Paris · Salzburg · Milan · Seoul © Georg Baselitz

Thaddaeus Ropac

Georg Baselitz 1938, Allemagne

"Ein Bein von Manet aus Paris"

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