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23 • 24 • 25 mai 2025

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Valentin Rilliet, Untitled, 2025, oil and sand on linen, 130 x 90 cm (51 ⅛ x 35 ⅜ in.). Courtesy de l’artiste et de la Galerie Peter Kilchmann Zurich/Paris

Galerie Peter Kilchmann

Paul Wesenberg, Carmin River, 2024, huile sur toile, toile cirée, 200 x 150 cm, Courtesy RX&SLAG

Galerie RX&SLAG

Galerie Raphaël Durazzo

Titina Maselli 1924 — 2005, Italie

"Panta Rhei – Everything flows"

  • Titina Maselli, Calciatori e città, 1973, Acrylic on canvas

Titina Maselli, Calciatori e città, 1973, Acrylic on canvas

Titina Maselli est une figure marquante de l’art italien du XXe siècle. Privilégiant les grands formats, Maselli nous plonge dans des nuits sur toiles d’un style reconnaissable au premier coup d’œil. Elle représente avec génie le mouvement, la vitesse et l’énergie qui caractérise son époque. Son œuvre imprégnée des avant-gardes italiennes auxquelles elle ajoute, avec fièvre, toute l’effervescence de l’après-guerre jusqu’aux années pop avait toute sa place dans la programmation de la galerie que nous voulons dédiée à l’histoire des Avant-Gardes.

Elle naît à Rome en 1924 au sein d’une famille d’artistes et d’intellectuels.  Son père, philosophe et critique d’art, l’encourage très jeune à peindre et c’est en 1948 à Rome, alors âgée de 24 ans, qu’elle expose pour la première fois ses toiles. Elle est très vite remarquée. Pour l’écrivain italien Renzo Vespignani, ses créations reflètent « les passions d’une génération encore acerbe, mais déjà éprouvée par la peur et le désespoir ». 

Plus tard, Maselli peint les archétypes de son temps. « La Rome impériale ne m’intéresse pas, je cherchais la Rome moderne et il me semblait la découvrir la nuit » dira-t-elle plus tard de ses premières recherches. Des cités nocturnes font apparaître ce qu’il lui semble rester du réel et qu’on ne regarde pas assez : elles sont traversées par une géométrie de lignes et de réseaux urbains dans lesquels les rues s’éveillent sous l’éclat vibrant des néons et des enseignes lumineuses. La modernité de Maselli casse le paysage jusqu’à faire disparaitre la nature. Ses Métropolis se font le théâtre de footballeurs, de boxeurs et de cyclistes qui fendent le béton plus qu’ils ne s’y fraient un chemin.

Titina Maselli participera à quatre reprises à la Biennale de Venise et exposera dans plusieurs villes d’Europe. De 1952 à 1955, elle réside à New York, se confrontant au mouvement Pop Art dont elle tient à se différencier : « Ces jeunes artistes veulent peindre l’objet en soi. Moi par contre, j’entends peindre des conflits ». Elle peint d’ailleurs ce conflit entre l’homme et son environnement : un environnement qu’il essaie sans cesse de semer, de dépasser, en énergie, en vitesse, en force encore. Elle mettra plus tard ce conflit au cœur de son travail en assurant la scénographie de nombreux films.

Dans les années 70, elle vient à Paris où le théâtre et l’Opéra l’accueillent et font sa renommée. Collaborant avec de grands metteurs en scène tels que Jean Jourdheuil, Brigitte Jaques, et surtout, Bernard Sobel avec qui elle travaille sur vingt créations entre 1980 et 2003, principalement en concevant les décors et les costumes : Va-et-vient et Pas moi de Samuel Beckett (1980), Le Cyclope, opéra de Betsy Jolas d’après Euripide (1986), Les Géants de la montagne de Luigi Pirandello (1994). En 2003, pour le festival d’Aix-en-Provence, elle imagine les décors de Renard, de Stravinsky, mis en scène par Grüber et dirigés par Pierre Boulez.

Maselli décède le 22 février 2005 à son domicile à Rome. Ses expositions et rétrospectives à la quadriennale de Rome, aux Salons de la jeune peinture et de l’A.R.C. à Paris, à la fondation Gulbenkian à Lisbonne, au Kunstamt Kreuzberg à Berlin ou à la fondation Maeght à Saint-Paul-de-Vence (1972) attestent de sa richesse créatrice.

Exposition personnelle de Titina Maselli

Du 3 avril au 31 mai 2025

23 Rue du Cirque
75008 Paris, France
01 40 07 51 89 raphaeldurazzo.com

La galerie

Après une dizaine d’années en tant que marchand, Raphael Durazzo ouvre une galerie d'art dédiée au second marché dans le quartier Matignon/Saint-Honoré. Il est le secrétaire général de l’association « Matignon/Saint-Honoré », réunissant les galeries du 8ème arrondissement.

La Galerie Durazzo se veut la vitrine incontournable des grands peintres surréalistes notamment féminins ainsi que des artistes d’après-guerre faisant partie des plus renommés. La galerie présente aussi des artistes contemporains dialoguant avec les artistes modernes.

La Galerie Durazzo développe des liens particulièrement étroits avec ses collectionneurs. Son rôle s’étend comme consultant pour des collections privées et des collections d’entreprise.

La Galerie Durazzo participe à la TEFAF Maastricht 2025.

Les artistes de la galerie

Josef Albers, Joseph Beuys, André Butzer, Leonora Carrington, Le Corbusier, Christa Dichgans, Leonor Fini, Jonathan Gardner, Walter Gropius, Jörg Immendorff, Vassily Kandinsky, Anselm Kiefer, Paul Klee, Jacqueline Lamba, Fernand Léger, Nadia Léger, Markus Lüpertz, Amédée Ozenfant, A.R Penck, Sigmar Polke, Gerhard Richter, Oskar Schlemmer, Gérard Schneider, Thomas Schütte, Gunta Stölzl, Dorothea Tanning, Fritz Winter, Irène Zurkinden

Dans le thème « Art moderne »

Galerie Zlotowski

Pierrette Bloch, Ella Bergmann-Michel, Louise Bourgeois, Anne-Lise Coste (Uruk), Sonia Delaunay, Jochen Lempert, Sol Lewitt, Vera Molnar, Anthony Plasse, Helen Mirra, Kurt Schwitters, Georges Valmier, Arnaud Vasseux, Josselin Vidalenc, Zohreh Zavareh

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"chevaliers errantes"

Elizabeth Lennard, Flower Mold, Red, 2010.

Les Douches la Galerie

August Sander, Daniel Masclet, Anna et Bernhard Blume, Michel Journiac, Valérie Belin, Stéphane Couturier, Elizabeth Lennard, Henri Foucault, Denis Darzacq, Alain Fleischer, Patrick Tosani, Ghislaine Vappereau, François Kollar, Roger Catherineau, Bernard Plossu etc..

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"Dans ma cuisine"

Siri Derkert, Sara i fönstret, 1924, Unsigned, Oil on canvas mounted on canvas, 95.3 x 63.3 cm. Courtesy of the Artist and Andréhn-Schiptjenko. © Paulina Simon

Andréhn-Schiptjenko

Siri Derkert 1888 — 1973, Suède

Dans le thème « Artistes femmes »

Raphaëlle Peria, Le brouillard des sentiments, grattage sur photographie, 80x60cm, 2025.

Galerie Papillon

Raphaëlle Peria 1989, France

"Si j’étais un arbre, je serais toi"

Clarissa Bonet, Fortress, 2016, ©Clarissa Bonet

La Galerie Rouge

Clarissa Bonet 1986, États-Unis

"Clarissa Bonet, City Space"

Photo credit: Gaïa Lamarre.

Air de Paris

Mona Filleul 1993, France/Suisse

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"Air de Tranny"

Dans le thème « Peinture »

Paul Wesenberg, Carmin River, 2024, huile sur toile, toile cirée, 200 x 150 cm, Courtesy RX&SLAG

Galerie RX&SLAG

Paul Wesenberg 1973, Allemagne

"Found New Paradise"

Tirdad Hashemi, The collapse of years of hiding, (Transbodies), 2025, Acrylique sur toile, Acrylic on canvas, 189 x 255 cm, 74 3/8 x 100 3/8 inches,(THa008)

Galerie Christophe Gaillard

Tirdad Hashemi 1991, Iran

"Butchered Bodies"

Pieter Jennes, Il me tarde, 2025, Huile et collage sur toile / Oil and collage on canvas
190 × 170 cm / 74 13/16 × 66 15/16 inches
192 × 172 × 4 cm / 75 9/16 × 67 11/16 × 1 9/16 inches (encadré / framed), Photo Aurélien Mole. Courtesy Semiose, Paris.

Semiose

Pieter Jennes 1990, Belgique

"Le Bouquet manquant"

Dans le quartier « Matignon »

 Arnulf Rainer
Sans titre, 1987/1988
Crayon gras et huile sur toile, 200,5 × 124 cm
© Arnulf Rainer. Courtesy Galerie Lelong

Galerie Lelong

Arnulf Rainer 1929, Autriche

"Reminiszenz"

1955-2025

Alighiero Boetti, Entre chien et loup, 1988, Tapestry, Embroidery/fabric, 18 x 18 cm, Courtesy : Pron

Pron

Alice Gavalet, Alighiero Boetti, Bernard Rooke, Carlo Scarpa, Diego Giacometti, Ernesto Basile, Ettore Sottsass, Fausto Melotti, Gommaar Gilliams, Jane Yang-D’Haene, Kodai Ujiie, Lucio Fontana, Maurizio Donzelli, Niyaz Najafov, Marc Chagall, Max Ernst, Pablo Picasso, Pietro Ruffo, Roberto Matta, Rémy Pommeret, Roger Herman, Ujiie Kodai, et Vittorio Zecchin

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"Exposition inaugurale"

Martin Boyce, Drawn from Depths, 2025 (détail), acier peint, acier galvanisé, verre soufflé à la main, composants électriques, installation : 300 x 200 x 200 cm. Production du verre : Cirva, Marseille. Courtesy de l’artiste et Esther Schipper Berlin/Paris/Séoul. Photo © Eoin Carey

Esther Schipper

Martin Boyce 1967, Écosse

"Unhome"

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