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23 • 24 • 25 mai 2025

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Julio Villani, Lettres Brisees 2, 251x130.

Galerie RX&SLAG

Renaud Auguste-Dormeuil, Le Tourbillon de la Vie #01, 2013, Impression Lambda contrecollée sur aluminium, 120 x 150 cm, Edition de 5 ex + 1 AP
© Renaud Auguste-Dormeuil, Courtesy de l'artiste & galerie In Situ - fabienne leclerc, Grand Paris

galerie Sator

Galerie Sabine Bayasli

Famakan Magassa 1997, Mali

"La vie est un compte"

  • Famakan Magassa, L’AMOUR ET LA JUSTICE, Acrylique et pastel à l'huile sur toile, 150 X 130 CM, 2025, copyright galerie Sabine Bayasli

Famakan Magassa, L’AMOUR ET LA JUSTICE, Acrylique et pastel à l'huile sur toile, 150 X 130 CM, 2025, copyright galerie Sabine Bayasli

La vie est un compte

Des Koredugas exposés à Bamako en 2019 à La vie est un compte présentée en solo show en 2025 à Paris, six années se sont écoulées au cours desquelles Famakan Magassa a su faire preuve de créativité, d’originalité par les thèmes abordés et son évolution stylistique. A seulement 28 ans, le jeune peintre malien a su se renouveler et déjouer le temps sans céder à une quelconque frénésie quantitative.

Bien qu’ayant à son actif 6 expositions universelles, 3 prestigieuses résidences internationales et le premier prix de la Fondation Norval dont il est le seul artiste francophone lauréat, il poursuit son parcours avec la sérénité d’un créateur avisé.

Ce rapport au temps qui passe a toujours été une constante dans le travail de Famakan Magassa même s’il n’apparaissait qu’en filigrane dans certaines toiles. Il était donc normal qu’il l’aborde frontalement tout en construisant un scénario embrassant les événements d’une vie et une critique sociale. Pour cela nous avons une fois de plus constitué ce duo complémentaire qui depuis ses débuts préside à sa destinée.

Avec La vie est un compte le jeune peintre revient sur des questions existentielles et sur l’importance que la “valeur argent’ devient un objectif obsessionnel dans nos vies. Il dénonce à quel point les aspects financiers sont présents de la naissance à la mort, combien la réussite sociale devient un critère de bonheur absolu au détriment de toute humanité.

Cependant dans cette série, Famakan Magassa amorce un changement profond dans la perception des personnages et des mises en situation qu’il déploie avec une remarquable maîtrise technique et stylistique. Si jusqu’à présent ses tableaux privilégiaient l’absurdité de notre monde tout en dénonçant les excès des puissants, de l’ordre établi, des dérives en tous genres, l’artiste a choisi un autre angle d’attaque aussi puissant mais plus subtile.

Celui que l’on surnomme “Le Sage” à Bamako n’en a pas pour autant perdu sa verve picturale mais ce qui pouvait paraître plus provocant dans ses précédentes séries est désormais sous-jacent, forçant le public à scruter et analyser l’intention de l’artiste. Famakan Magassa fait preuve de maturité tout en ne se déparant pas de sa folie créatrice. L’œuvre se veut plus introvertie comme s’il y avait une mise en abyme de certains de ses personnages.

L’intimité, l’émotion et même les sentiments entrent en scène pour laisser entrevoir les complexités de l’âme humaine. Et si le bleu prédomine sur les fonds comme dans la conception des protagonistes c’est pour nous dire qu’il s’agit d”une couleur familière, universelle à laquelle chacun peut s’identifier.

A partir de là il déploie le feuilleton de la vie avec ses joies, ses moments heureux, les épisodes douloureux, les étapes importantes, les liens familiaux, les faux-semblants, les incertitudes comme les facteurs de réussite.

Ces comptes ne sont rien d’autre que le métronome de nos existences. Dès que nous naissons le compte à rebours le sablier qui nous sépare du dernier souffle est activé ponctuant ainsi tout ce qui forge notre personnalité, nos apprentissages. Mais dans ces histoires apparaissent également les comptes à rendre et les comptes en banque car eux aussi façonnent nos modes

Expositions personnelle de Famakan Magassa

Expositions du 15 mai au 14 juin 2025

99 Rue du Temple
75003 Paris, France
06 34 29 40 82 galeriesabinebayasli.com

La galerie

Après plusieurs décennies dans le 9ème arrondissement de Paris, la galerie Detais devient la Galerie Sabine Bayasli et déménage à l’automne 2019 dans le Marais, à Paris.

Désormais sise au 99 rue du Temple, la Galerie Sabine Bayasli entame les années 2020 avec de nouvelles collaborations, françaises et internationales (Pologne, Allemagne, Suisse, Canada, Italie, Japon…), pariant sur des artistes émergents tout comme sur ses artistes historiques. Nous vous présentons des expositions d’œuvres figuratives de différentes techniques, peintures, dessins, sculptures sur marbre, sculptures en céramique…

Après la Libération, les Levin rouvrent la galerie familiale. Georges Detais épouse la fille de Claude Levin, et, en 1958, il prend officiellement la direction de la galerie.

Jusqu’alors spécialisée dans la peinture des 17e et 18e, la galerie va devenir, sous l’impulsion de Georges Detais, la caisse de résonance d’une nouvelle génération d’artistes.

En 1959, un jeune Espagnol se présente à la galerie, une toile sous le bras : Eduardo Arroyo fait ainsi son entrée dans le milieu artistique parisien.
Il fera sa première exposition à la galerie en 1961, où il sera suivi de près par Louis Quilici, Gilles Aillaud, Henri Cueco, Bernard Rancillac…
La Galerie Detais sera désormais associée à un nouveau courant : la Figuration Narrative.

Dans l’effervescence intellectuelle et artistique du Paris des années 1960, la galerie soutient une nouvelle scène qui embrasse vite une carrière à l’étranger, nourrie des apports de Peter Klasen, Errò, Valerio Adami ou Hervé Télémaque et de la fougue contestataire de Gérard Fromanger, Jacques Monory, Ivan Messac ou Gérard Schlosser.

A partir du début des années 1970 la galerie met l’accent sur le développement international de ses artistes et les accompagne lors d’expositions à Madrid, Amsterdam, Montréal, Zurich…

Dans les années 2000, Sabine Bayasli rejoint Georges Detais. Formée au métier, l’ex-libraire reprendra le flambeau et l’héritage spirituel de son mentor.
Elle poursuit et développe l’activité de la galerie, toujours dédiée à la figuration, et entame un tournant en 2011 avant d’ouvrir un nouvel espace au 39 rue Notre Dame de Lorette en 2017.

Avec Sabine Bayasli à la direction, La Galerie Detais y entreprend de nouvelles collaborations et formalise un programme orienté vers la peinture figurative d’aujourd’hui, française et internationale. Débarrassée des batailles anciennes entre Figuratifs et Abstraits, la nouvelle génération se montre aux côtés de ses prédécesseurs, aussi bien à la galerie que dans les foires auxquelles elle participe, à Beyrouth, Leipzig ou encore en Corée.

Les artistes de la galerie

Clara Bryon, Magali Cazo, Jérome Combe, Julien Delagrange, Jiri Hauschka, Lanne Hood-Hazelgrove, Lena Keller, Magdalena Lamri, Renske Linders, Famakan Magassa, Karolina Orzelek, Aurélie Quentin, Clément Reinaud, Fabio Rieti, Johann Rivat, Andreas Senoner, Nazar Strelyaev-Nazarko, Tschiegg

Dans le thème « Art contemporain »

Photo credit: Gaïa Lamarre.

Air de Paris

Mona Filleul 1993, France/Suisse

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"Air de Tranny"

Ruben Pang, Sans Titre, 2024, 22O x 150 cm.

PACT

Ruben Pang 1990, Singapour

"Némésis"

Liliana Porter, Red Sand, 2021 - Courtesy of the artist and mor charpentier Paris.

mor charpentier

Liliana Porter 1941, Argentine

"Almost There"

Dans le thème « Peinture »

Javier Ruiz Pérez, Girasoles, Oil on canvas, 50 x 40 cm, 2025, Unique

Galerie Droste

Javier Ruiz Pérez 1989, Espagne

"QUISE SER UN ELEFANTE ASUSTADO"

"I Wanted to Be a Scared Elephant"

Summer Wheat, Catching Butterflies on Grass, 2025, acrylic paint and gouache on aluminum mesh 172.7 x 119.4 cm (68 x 47 in). Courtesy Zidoun-Bossuyt Gallery

Zidoun-Bossuyt Gallery

Summer Wheat 1977, États-Unis

"Sun Up, Sun Down"

Sophie Whettnall, Invisible landscape, 2025, soie perforée, cadre cuivre, 51,5 x 40 x 3,5 cm, Photo © Isabelle Arthuis, Courtesy of the artist and Michel Rein, Paris/Brussels

Michel Rein

Sophie Whettnall 1973, Belgique

"Invisible"

Dans le thème « Scène africaine »

Jérôme Lagarrigue, Here I am, Huile sur toile, 65 x 65 cm, Courtesy Galerie Olivier Waltman.

Galerie Olivier Waltman

Ange-Arthur Koua, Jérôme Lagarrigue, Gastineau Massamba

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"Le rythme. Choc vibratoire de l'être"

Stéphané Edith Conradie, Klinkende Simbaal II, 2025, Assemblage d’éléments divers, Courtesy Ceysson & Bénétière

Ceysson & Bénétière

Stephané Edith Conradie 1990, Namibie

Ahmed Legs, framed photography by ©️Hassan Hajjaj, 2022_1443. Courtesy of Ahmed, Hassan Hajjaj Studio & 193 Gallery

193 Gallery

Hassan Hajjaj 1961, Maroc

"Legs"

Dans le thème « Scène émergente »

Hugo Alonso, April House, 2025, Acrylic on canvas, 134 x 101 cm. Photo Courtesy of Alzueta Gallery / Kim Simonsson, Mossboy with Sacred Costume, 2025, Ceramics, nylon fibre, epoxy resin, artificial plants, feathers and rope, 100 x 50 x 45 cm. Photo Courtesy of Alzueta Gallery

Alzueta Gallery

Hugo Alonso et Kim Simonsson

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"Tête à tête"

Anne Manoli, Sauvage est le vent, 2017, Peinture à l’huile, cire et emulsion sur toile, 158 x 198 cm

Berthet-Aittouarès

Anne Manoli, Yann Bagot, Paul Iratzoquy

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"La nature en question"

Laura Garcia Karras, Oraison, 2024, Huile sur toile, 180 x 150 cm, Courtesy de l’artiste et Galerie Anne-Sarah Bénichou

Galerie Anne-Sarah Bénichou

Laura Garcia Karras 1988, France

"Calisté"

Dans le quartier « Marais »

Lalitha Lajmi. Performer and Child, 2015. Watercolor on paper, 21 x 14 inches. Courtesy of the Estate of Lalitha Lajmi and Gallery Art & Soul, Mumbai.

Galerie Anne Barrault

Lalitha Lajmi 1932 — 2023, Inde

Evelyn Pultara, Atnwelarr and Kame, Acrylique sur toile, 210 x 120 cm, 2007 ©Evelyn Pultara ©Arts d’Australie • Stéphane Jacob

GALERIE ARTS D’AUSTRALIE • STEPHANE JACOB

Abie Loy Kemarre, Ada Pula Beasley, Anna Pitjara, Belinda Golder Kngwarreye, Clara Wubuqwubuk, Elizabeth Kunoth Kngwarreye, Evelyn Omeenyo, Evelyn Pultara, G. W. Bot, Konstantina, Lilly Sandover Kngwarreye, Marilyn Golder Kngwarreye, Naomi Price, Niah Juella Mcleod, Ollie Kemmare, Philip Gudthaykudthay et Tjimpuna Williams

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"Yallaroo"

Siri Derkert, Sara i fönstret, 1924, Unsigned, Oil on canvas mounted on canvas, 95.3 x 63.3 cm. Courtesy of the Artist and Andréhn-Schiptjenko. © Paulina Simon

Andréhn-Schiptjenko

Siri Derkert 1888 — 1973, Suède

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