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23 • 24 • 25 mai 2025

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Famakan Magassa, L’AMOUR ET LA JUSTICE, Acrylique et pastel à l'huile sur toile, 150 X 130 CM, 2025, copyright galerie Sabine Bayasli

Galerie Sabine Bayasli

Jean-Michel André, Vertige, Cap Corse, 2022 ©J.M. André courtesy galerie Sit Down

Galerie Sit Down

galerie Sator

Renaud Auguste-Dormeuil, Djabril Boukhenaïssi, Raphaël Denis, Alessandro Di Lorenzo, Gabriel Leger, Éric Manigaud, Bruno Pélassy, Kelly Sinnapah Mary, Thiên Ngoc Ngo Rioufol

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"De l'effacement de la figure humaine"

  • Renaud Auguste-Dormeuil, Le Tourbillon de la Vie #01, 2013, Impression Lambda contrecollée sur aluminium, 120 x 150 cm, Edition de 5 ex + 1 AP
© Renaud Auguste-Dormeuil, Courtesy de l'artiste & galerie In Situ - fabienne leclerc, Grand Paris

Renaud Auguste-Dormeuil, Le Tourbillon de la Vie #01, 2013, Impression Lambda contrecollée sur aluminium, 120 x 150 cm, Edition de 5 ex + 1 AP © Renaud Auguste-Dormeuil, Courtesy de l'artiste & galerie In Situ - fabienne leclerc, Grand Paris

« L’effacement de la figure humaine est abordé dans le cadre des mouvements artistiques modernes et contemporains, notamment dans l’abstraction. L’art abstrait, à partir du début du XXe siècle, a cherché à s’éloigner de la représentation figurative du corps humain, au profit de formes et de couleurs qui n’impliquent pas nécessairement la présence humaine. Des artistes comme Mondrian, Malevitch ou Kandinsky ont créé des œuvres où la figure humaine était soit complètement absente, soit évoquée de manière indirecte à travers des formes géométriques ou des compositions non figuratives. Plus récemment, dans des œuvres postmodernes ou conceptuelles, l’effacement de la figure humaine peut symboliser une déconnexion entre l’individu et son environnement ou ses représentations. L’humain devient moins central, voire anonyme, dans un monde de plus en plus technologique et dépersonnalisé. L’effacement de la figure humaine peut être une manière de dénoncer une perte d’individualité, une déconnexion de soi, ou un phénomène où l’humain devient subordonné à des forces extérieures, qu’elles soient technologiques, économiques ou sociales. (…) Il s’agit souvent d’une critique des conditions modernes ou postmodernes dans lesquelles l’individu semble perdre sa place ou son sens. »
(Source : chatGPT)

Après près de six ans d’activité à KOMUNUMA, pour notre dernière exposition à Romainville, nous avons souhaité parler du thème de l’effacement de la figure humaine. En dialogue avec Djabril Boukhenaïssi, Raphaël Denis, Gabriel Leger et Éric Manigaud, ont été invités deux artistes émergents, Alessandro di Lorenzo et Thien-Ngoc Ngo-Rioufol, le premier récemment
découvert aux Beaux-Arts de Paris, le second au DOC, espace de production artistique dans le XIXème arrondissement. Soutenue depuis plusieurs années par le critique d’art, poète et conteur d’exposition Chris Cyrille-Isaac avec lequel nous collaborons régulièrement, nous
avons souhaité y associer la plasticienne Kelly Sinnapah Mary, dont nous avons visité l’atelier lors d’un voyage de prospection en Guadeloupe l’hiver dernier. Ont été également sollicitées nos consoeurs et confrères avec lesquelles nous avons ouvert le site en 2019 qui nous ont font l’amitié de nous confier des oeuvres de Bruno Pelassy et Lawrence Weiner (Air de Paris), Renaud Auguste-Dormeuil (Fabienne Leclerc – In Situ) et Eugène Carrière (Jocelyn Wolff). S’intéresser à l’effacement de la figure humaine c’est aborder la question vertigineuse du temps, de la mémoire, et du souvenir, celle de l’identité, confuse et fragile, et plus fondamentalement se confronter à la question sensible de l’humanisme dans l’art contemporain et dans nos sociétés.

Exposition collective de Renaud Auguste-Dormeuil, Djabril Boukhenaïssi, Raphaël Denis, Alessandro Di Lorenzo, Gabriel Leger, Éric Manigaud, Bruno Pélassy, Kelly Sinnapah Mary et Thiên Ngoc Ngo Rioufol

Du 23 mai au 12 juillet 2025

Rendez-Vous

Dimanche 25 mai 2025 de 11h00 à 19h00

Vernissage de l’exposition – galerie Sator

Voir tout l’agenda
43 Rue de la Commune de Paris
93230 Romainville, France
01 87 66 09 04 galeriesator.com

La galerie

Ouverte en 2011 à Paris, la galerie Sator s’attache à la promotion d’artistes internationaux émergents ou en voie de confirmation. La ligne de la galerie se définit dans un rapport référencé de l’art à d’autres formes artistiques ou de création de la pensée : la politique, l’histoire, l’histoire de l’art, la littérature, la philosophie ou les sciences ayant pour vocation de questionner la place de l’Homme dans le monde, d’offrir
 un outil de réflexion sur les sociétés contemporaines, leur évolution et mutation, leur rapport au territoire. Le questionnement sur l’image et sur la production de la forme plastique complètent cette approche.

Les artistes de la galerie

Djabril Boukhenaïssi, Corentin Canesson, Jean Marc Cerino, Sylvain Ciavaldini, Raphaël Denis, Hugo Deverchère, Yevgeniy Fiks, Christian Gonzenbach, Yan Heng, Evangelia Kranioti, Hayoun Kwon, Gabriel Leger, Kokou Ferdinand Makouvia, Eric Manigaud, Nazanin Pouyandeh, Truc-Anh, Pu Yinkwei

Galerie sélectionnée par Chris Cyrille Isaac et Anaël Pigeat

Dans le thème « Art contemporain »

Robert Irwin, #3 x 6' D Four Fold, 2016
© ARS, NY and DACS, London 2025.
Photo: Philipp Scholz Ritterman. Courtesy of the Estate of Robert Irwin

WHITE CUBE

Robert Irwin 1928 — 2023, États-Unis

"Robert Irwin"

 Installation view, Zander Galerie, Cologne 2024, featuring works by Ed Ruscha: If You Ever Tell I'll Hurt Your Mama Real Real Bad, 1994, If No Cash By Noon You Will Have Visitors, 1997, Do As Told Or Suffer, 1997, and A Columbian Necklace for You, 1997.

Zander Galerie

Ed Ruscha 1937, Etats-Unis

"Cityscapes"

Ahmed Legs, framed photography by ©️Hassan Hajjaj, 2022_1443. Courtesy of Ahmed, Hassan Hajjaj Studio & 193 Gallery

193 Gallery

Hassan Hajjaj 1961, Maroc

"Legs"

Dans le thème « Peinture »

MOÏSE KISLING (1891-1953), Didi, 1936, Signé en bas à gauche : Kisling, Titré au revers : Didi, Huile sur toile, 33 x 24 cm, 58 x 49,5 cm (avec cadre)

HELENE BAILLY

Moïse Kisling 1891 — 1953, France

Valentin Rilliet, Untitled, 2025, oil and sand on linen, 130 x 90 cm (51 ⅛ x 35 ⅜ in.). Courtesy de l’artiste et de la Galerie Peter Kilchmann Zurich/Paris

Galerie Peter Kilchmann

Valentin Rilliet 1996, Suisse / Chine

"The Dream Synopsis"

Bernard Requichot,

Galerie Alain Margaron

Bernard Réquichot 1929 — 1961, France

"Bernard Réquichot, penser par la peinture"

Dans le quartier « Nord-Est (Saint-Ouen - Belleville - Pantin - Romainville) »

Laura Huertas Millán, El laberinto, 2018, 21 mins, 16 mm into HD, images trouvées Courtesy de l'artiste.

Marcelle Alix

Ella C Bernard, Cécile Bouffard, Omar Castillo Alfaro, Caroline Rose Curdy, Pierre Dumaire, Laura Huertas Millán, Liz Magor, Rafael Moreno, Nicole, Hatice Pinarbaşi et Jean-Charles de Quillacq

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"El fantasma de Tennessee"

Georg Baselitz, Indigene liegen im Farnkraut, 2025, Oil on canvas, 300 x 430 cm (118,11 x 169,29 in), signed, dated and titled verso. Courtesy Galerie Thaddaeus Ropac, London · Paris · Salzburg · Milan · Seoul © Georg Baselitz

Thaddaeus Ropac

Georg Baselitz 1938, Allemagne

"Ein Bein von Manet aus Paris"

Diego Bianchi, Jacobsen, 2019, chrome pipes, wood, plastic, 181 x 150 x 80 cm

Galerie Jocelyn Wolff

Diego Bianchi 1969, Argentine

"ThéâtrEErreuR"

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